Bon voila apres trois semaines passees a profiter de la ville, du temps, des bars, des gens, il est maintenant temps de definir une suite aux operations, et trouver un peu d'argent...
Je commence donc en ce lundi 16, veille de la St Patrick sa va etre dur de resister a l'appel de la fete demain, a chercher un lieu de fruit picking (ramassage de fruit) pour deux ou trois semaines, mais la tache n'est pas des plus aisee, car meme ici dans la plus grosse region de production de vin d'australie, le job est dur a trouver, et l'hebergement n'est pas donne... mais bon sa va le faire, j'ai pas besoin de miliers d'euros non plus donc...
Je vous laisse, je vais chercher, bonne semaine!!!
Vraiment un championnat de L1 passionant qu je suis en train de louper!!!!
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
salut Chico
RépondreSupprimeravec la carrure que tu as maintenant je ne me fais pas de soucis tu vas trouver
bon courage
bisous
Tata Cath
Ah bah d'accord !!!!
RépondreSupprimerNous on se faisait du soucis pour toi...
Vynou nous avait dit que t'en chiait, que ça partait en sucette et que tu voulais tout laisser tomber.
Voyant que t'arrivais pas on s'est quand même inquiété et on s'est dit qu'on allait jeter un oeil sur ton blog, voir si t'étais toujours en vie.
Ben mon cochon, c'est la dernière fois qu'on s'inquiète.
A part des "trop bon", "énorme", "la claque", "je m'éclate", "c'est top", y'a pas grand chose de dramatique.
Mon pauvre petit, comme on te plains, ça doit être trop dur physiquement, et moralement n'en parlons même pas, c'est clair qu'il faut que tu te dépêches de revenir zoner à Grenoble le plus vite possible avant que les dégâts de l'extase soient irréversibles.
Sur ce, je te souhaite bien du courage pour affronter cette effarante quantité de bonnes choses qui t'attendent encore, et je te prierai de la jouer un peu plus déprimé à l'avenir, parce que là c'est moi qui suis dégouté...
Bon allez c'est pas tout ça, y'en a qui bossent, et j'en fais partie, je vais au lit essayer de trouver le sommeil en pleurant toutes les larmes de mon corps, et crois moi je te le ferais payer quand tu reviendras... si tu reviens.
Guac.